La nature a revêtu son doux manteau d’hiver et s’est parée de ses plus belles couleurs.
Douceur poésie et magie..
janvier 6th, 2010 § 2
La nature a revêtu son doux manteau d’hiver et s’est parée de ses plus belles couleurs.
Douceur poésie et magie..
janvier 6th, 2010 § 3
Tim Burton est l’un de mes réalisateurs favoris, si ce n’est pas le premier !
Je ne me risquerais pas à fournir des informations trop détaillées car plusieurs sites lui sont dédiés et leurs auteurs ont fait un travail remarquable. Je vous invite donc à consulter ces sites faits par des passionnés, et dont je vous fournirai l’adresse en fin d’article ainsi qu’une petite description de ce que vous pourrez y trouver.
Pour ma part, je vais seulement lui dédier une page de mon blog en asseyant de d’écrire son univers et ce qui m’attire chez ce talentueux personnage.
Tout d’abord, voici une petite filmographie (p = producteur, r = réalisateur):
BELIEVE IT OR NOT (prévu pour 2011) (r)
ALICE IN WONDERLAND (2010) (r)
SWEENEY TODD (2007) (r)
CORPSE BRIDE (2005) (r)
CHARLIE AND THE CHOCOLATE FACTORY (2005) (r)
9 (2005) (p)
BIG FISH (2003) (r)
PLANET OF THE APES (2001) (r)
SLEEPY HOLLOW (1999) (r)
JAMES AND THE GIANT PEACH (1996) (p)
MARS ATTACKS! (1996) (r)
BATMAN FOREVER (1995) (p)
CABIN BOY (1994)
ED WOOD (1994) (r)
THE NIGHTMARE BEFORE CHRISTMAS (1993) (p)
BATMAN RETURNS (1992) (r)
EDWARD SCISSORHANDS (1990) (r)
BATMAN (1989) (r)
BEETLEJUICE (1988) (r)
PEE-WEE’s BIG ADVENTURE (1985) (r)
La première chose qui me vient à l’esprit, le premier mot qui se forme dans ma tête lorsque j’évoque Tim Burton, c’est créativité. Que ce soit du point de vue du scénario, de la mise en scène ou des décors, cet homme à l‘ imagination fertile, fait preuve d’une inventivité déconcertante.
Le deuxième élément qui me paraît caractériser son univers, c’est étrange. Ou alors c’est peut être magique. Non non, je dirais poétique. Ah je sais, merveilleux ! Oh et puis noir , délirant … en un mot : Burtonien.
Tim Burton a su créer un style qui lui est propre et qui ne ressemble à aucun autre.
De plus, l’univers visuel, esthétique qu’il construit pour chacun de ses films est sensationnel et totalement époustouflant.
Je crois que le film qui m’a le plus marquée et que j’ai le plus aimé est Big Fish. Cependant, si un néophyte devait se faire une idée sur l’univers de Tim Burton, je lui conseillerais Vincent ( http://www.youtube.com/watch?v=zMMjAzqMcBU)ou encore Edward Scissorhands (Edward aux mains d’argent). Un court métrage et un film typiquement Burtonien : cruels et tendres, macabres et poétiques à la fois !
Par ailleurs, ce n’est pas uniquement un excellent réalisateur ! Il écrit aussi et dessine. J’en profite pour vous conseiller son recueil de poèmes que j’ai eu le plaisir de découvrir lorsque j’étais dans le train : The Melancholy Death of Oyster Boy & Other Stories (La triste fin du petit enfant huître et autres histoires), aux éditions 10/18, (Coll. Domaine Étranger).
Des poèmes qui fondent tels des bonbons sous la langue ! Je pense créer un article dans la catégorie « littérature » donc je ne vous en dit pas plus ! Ah si, une dernière chose, l’édition 10/18 (collection Domaine Étranger) nous offre pour notre plus grand plaisir, une version bilingue !! C’est bien entendu celle-ci que je vous conseille.
J’allais oublier ! Autre information importante, un livre que tous les fans vont s’arracher d’autant plus que si j’ai bien compris, il ne sera pas disponible en librairie : The Art of Tim Burton
Allez sur le site officiel de Tim Burton pour de plus amples renseignements !
Les sites qui me semblent dignes d’intérêt et particulièrement bien renseignés en dehors du site officiel de Tim Burton sont les suivants :
janvier 6th, 2010 § 2
Résumé
Édimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son coeur en reste gelé. Mi-sorcière mi-chaman, la sage-femme qui aide à l’accouchement parvient à sauver le nourrisson en remplaçant le coeur défectueux par une horloge. Cette prothèse fonctionne et Jack vivra, à condition d’éviter toute charge émotionnelle : pas de colère donc, et surtout, surtout, pas d’état amoureux. Mais le regard de braise d’une petite chanteuse de rue mettra le coeur de fortune de notre héros à rude épreuve : prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais jusqu’aux arcades de Grenade et lui fera connaître les délices de l’amour comme sa cruauté.
Opinion
Les amateurs d’univers fantastiques, décalés, de récits à la fois sombres et drôles et regorgeant de poésie vont adorer ce livre.
Pour ma part, il me rappelle un peu l’univers de Tim Burton et c’est avec émotion et passion que j’ai dévoré ce livre.
Un conte qui nous enlève à la réalité grâce à la poésie et l’inventivité des mots, et qui nous y replonge à chaque page, de part ces allégories sur l’amour et cette douleur qu’il nous inflige parfois.
A offrir..