Festival cinéma Télérama

janvier 16th, 2011 § 2

Oyé oyé braves gens..

Amateurs de ciné ouvrez grand vos mirettes !

Du 19 au 25 janvier vous avez l’occasion de voir ou revoir les meilleurs films de l’année pour seulement 3 euros la place.

La programmation est disponible sur le site de telerama. Il vous faudra le pass qui se trouve dans les numéros du 12 et 19 janvier (et oui ils sont malins, faut acheter le magazine ! Mais la bonne nouvelle c’est que le pass est valable pour deux personnes.)

Bon je suis un peu déçue parce que les films que je n’avais pas vus ils ne passent pas au Katorza de Nantes ! Je ne  verrai que Poetry. Si vous devez n’en voir qu’un, allez voir Dans ses yeux. Bon et puis il faut aussi voir Fantastic Mr Fox, j’en suis convaincue et Another Year..la plupart en somme. ;)

Bonnes séances !

La Vague de Dennis Gansel

janvier 16th, 2011 § 0


Synopsis (allociné) :

En Allemagne, aujourd’hui. Dans le cadre d’un atelier, un professeur de lycée propose à ses élèves une expérience visant à leur expliquer le fonctionnement d’un régime totalitaire. Commence alors un jeu de rôle grandeur nature, dont les conséquences vont s’avérer tragiques.

Mon avis :

Pas mal.

Pourquoi ? L’idée est intéressante. Le film nous offre une réflexion sur le totalitarisme et sur la possibilité qu’un tel régime voie le jour à notre époque.
Cela vous semble improbable, irrationnel, impossible ? Vous pensez cela car selon vous notre passé, notre histoire a vacciné l’homme et sa bêtise contre ce genre de chose ? Alors regardez bien ce film..

La vague aborde aussi un phénomène de plus petite échelle qu’est celui du groupe, son fonctionnement, ses dérives, etc.

Les acteurs sont convaincants, le scénario tient la route et le réalisateur rend le film attractif et accessible  grâce à une bande son rythmée, des personnages plus ou moins stéréotypés et une dramatisation croissante.

Apprêtez vous à être quelque peu dérouté et atterré.
Cette fiction s’inspire d’un livre de Todd Strausser (La vague) qui lui se baserait sur des faits réels ayant eu lieu en Californie en 1967. Mais apparemment, après un rapide tour d’horizon du net, il existe peu de sources qui témoignent de cela et le sujet est assez controversé.

Du blabla et encore du blabla

janvier 13th, 2011 § 4


Un petit mot rapide.

En ce moment je fais des essais pour modifier le thème du blog. Donc il se peut que ça change à plusieurs reprises, et même, que je vous mette à contribution pour en choisir un définitif.

Je m’en excuse d’avance et vous remercie pour votre compréhension ( elle est pas un peu pompeuse ma formulation là ? Si hein..) De toute façon même si vous n’êtes pas content c’est pareil ( mieux non ?)

Je vous laisse à vos bouquins, films, boulots, pensées…

Pascaline.

:)

La zona, propriété privée de Rodrigo Pla

janvier 13th, 2011 § 0

Synopsis (allociné) :

Mexico. Trois adolescents des quartiers pauvres pénètrent dans l’enceinte de La Zona, une cité résidentielle aisée, entourée de murs et protégée par un service de sécurité privé. Ils s’introduisent dans l’une des maisons, mais le cambriolage tourne mal. Plutôt que de prévenir les autorités, les résidents décident de se faire justice eux-mêmes. Une chasse à l’homme sans pitié commence…

Mon avis :

Effrayant, haletant, prenant, déconcertant.

A voir absolument. Beaucoup de force dans ce thriller et une tension grandissante tout au long du film.
J’ai peur en continuant mon commentaire de vous dévoiler le film donc je ne vais pas en dire beaucoup plus.

On pourra toujours en parler et échanger nos impressions une fois que vous l’aurez vu.
Mais il est certain que ce film ne vous laissera pas indifférent, loin de là. Ce système de résidence privée existe et pas seulement au Mexique. Si le film pousse le concept à l’extrême, il n’en questionne pas moins la dangerosité de telles zones et des dérives qui peuvent en découler. La peur de l’autre est un moteur de violence incroyable.

Bon film !!!

Même la pluie de Iciar Bollain

janvier 12th, 2011 § 2

Synopsis (allociné) :

Sebastian, jeune réalisateur passionné et son producteur arrivent dans le décor somptueux des montagnes boliviennes pour entamer le tournage d’un film. Les budgets de production sont serrés et Costa, le producteur, se félicite de pouvoir employer des comédiens et des figurants locaux à moindre coût. Mais bientôt le tournage est interrompu par la révolte menée par l’un des principaux figurants contre le pouvoir en place qui souhaite privatiser l’accès à l’eau courante. Costa et Sebastian se trouvent malgré eux emportés dans cette lutte pour la survie d’un peuple démuni. Ils devront choisir entre soutenir la cause de la population et la poursuite de leur propre entreprise sur laquelle ils ont tout misé. Ce combat pour la justice va bouleverser leur existence.

Mon avis :

Ce qui m’a plu

Un très beau film avec un choix de narration osé mais maîtrisé. De perpétuelles mise en abyme ponctuent le film. Trois histoires imbriquées les unes dans les autres. Le parallèle entre le passé et le présent, entre l’Amérique latine du XVIe  et celle du XXIe , entre les oppressions d’hier et d’aujourd’hui, est pertinent .

De beaux plans et des acteurs convaincants. L’opposition entre les deux principaux acteurs ainsi que la psychologie de leur personnage respectif me plait car elle met en exergue leur humanité. Ils peuvent apparaître faibles, fragiles, égoïstes tout autant que compatissants ou compréhensifs..humains en somme, avec leurs qualités et leurs défauts. Je n’en dis pas plus, pour ceux qui n’auraient pas vu le film.

De plus, le film a une portée à la fois historique et politique. Il replonge le spectateur dans l’époque du colonialisme et engage une réflexion sur le manque d’humanité d’un gouvernement et des multinationales entrainant la révolte de tout un peuple. L’histoire s’inspire en effet de faits réels qui ont eu lieu en 2000 en Bolivie.

Point négatif

Le seul petit bémol que je porterai à ce film,c’est  le côté mélo dramatique de la fin.  On assiste à un élan d’héroïsme et à quelques scènes peu crédibles à mon goût.

En résumé, allez voir ce film. Il vous touchera forcément, que ce soit à travers les sujets qu’il aborde où à travers ses personnages. A noter que le scénariste n’est autre que Paul Laverty, le scénariste attitré de Ken Loach (article en cours) et que Iciar est proche du réalisateur ! On ne s’étonnera donc pas de l’aspect social et engagé du film.

Zep et ses happy books !!

janvier 10th, 2011 § 0



A voir absolument !!!!!!!!!

Trois livres : happy girls, happy rock et happy sex
Trois délices à savourer sans modération.

Pourquoi lire les happy books ? Parce que vous êtes sur de passer un bon moment.
C’est exquis, piquant, drôle, tendre. Chacun s’y retrouvera avec plaisir et amusement.

Ma préférence  : happy sex..un régal de situations burlesques, cocasses, détonantes et tellement proches de la réalité que vous en rirez de bon cœur. Un regard décomplexé, emprunt d’humour sur l’intimité du couple et le sexe.

A mettre entre toutes les mains..adultes bien entendu !

Quelques extraits pour vous donner l’eau à la bouche :

Les émotifs anonymes de Jean-Pierre Améris

janvier 6th, 2011 § 2



Synopsis (allociné) :

Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière de talent, sont deux grands émotifs.
C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. Hélas, leur timidité maladive tend à les éloigner.
Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.


Mon avis :

Sensible, drôle, tendre, rafraîchissante et légère.

Qu’ajouter à cela ? Un bon jeu d’acteurs et une histoire savoureuse peut être ?
Voilà, je vous ai tout dit sur cette jolie comédie qui dans sa simplicité offre au spectateur toute une gamme d’émotions.

Amateurs d’action, de suspens et effets spéciaux s’abstenir ! ;)

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