La zona, propriété privée de Rodrigo Pla

janvier 13th, 2011 § 0

Synopsis (allociné) :

Mexico. Trois adolescents des quartiers pauvres pénètrent dans l’enceinte de La Zona, une cité résidentielle aisée, entourée de murs et protégée par un service de sécurité privé. Ils s’introduisent dans l’une des maisons, mais le cambriolage tourne mal. Plutôt que de prévenir les autorités, les résidents décident de se faire justice eux-mêmes. Une chasse à l’homme sans pitié commence…

Mon avis :

Effrayant, haletant, prenant, déconcertant.

A voir absolument. Beaucoup de force dans ce thriller et une tension grandissante tout au long du film.
J’ai peur en continuant mon commentaire de vous dévoiler le film donc je ne vais pas en dire beaucoup plus.

On pourra toujours en parler et échanger nos impressions une fois que vous l’aurez vu.
Mais il est certain que ce film ne vous laissera pas indifférent, loin de là. Ce système de résidence privée existe et pas seulement au Mexique. Si le film pousse le concept à l’extrême, il n’en questionne pas moins la dangerosité de telles zones et des dérives qui peuvent en découler. La peur de l’autre est un moteur de violence incroyable.

Bon film !!!

Même la pluie de Iciar Bollain

janvier 12th, 2011 § 2

Synopsis (allociné) :

Sebastian, jeune réalisateur passionné et son producteur arrivent dans le décor somptueux des montagnes boliviennes pour entamer le tournage d’un film. Les budgets de production sont serrés et Costa, le producteur, se félicite de pouvoir employer des comédiens et des figurants locaux à moindre coût. Mais bientôt le tournage est interrompu par la révolte menée par l’un des principaux figurants contre le pouvoir en place qui souhaite privatiser l’accès à l’eau courante. Costa et Sebastian se trouvent malgré eux emportés dans cette lutte pour la survie d’un peuple démuni. Ils devront choisir entre soutenir la cause de la population et la poursuite de leur propre entreprise sur laquelle ils ont tout misé. Ce combat pour la justice va bouleverser leur existence.

Mon avis :

Ce qui m’a plu

Un très beau film avec un choix de narration osé mais maîtrisé. De perpétuelles mise en abyme ponctuent le film. Trois histoires imbriquées les unes dans les autres. Le parallèle entre le passé et le présent, entre l’Amérique latine du XVIe  et celle du XXIe , entre les oppressions d’hier et d’aujourd’hui, est pertinent .

De beaux plans et des acteurs convaincants. L’opposition entre les deux principaux acteurs ainsi que la psychologie de leur personnage respectif me plait car elle met en exergue leur humanité. Ils peuvent apparaître faibles, fragiles, égoïstes tout autant que compatissants ou compréhensifs..humains en somme, avec leurs qualités et leurs défauts. Je n’en dis pas plus, pour ceux qui n’auraient pas vu le film.

De plus, le film a une portée à la fois historique et politique. Il replonge le spectateur dans l’époque du colonialisme et engage une réflexion sur le manque d’humanité d’un gouvernement et des multinationales entrainant la révolte de tout un peuple. L’histoire s’inspire en effet de faits réels qui ont eu lieu en 2000 en Bolivie.

Point négatif

Le seul petit bémol que je porterai à ce film,c’est  le côté mélo dramatique de la fin.  On assiste à un élan d’héroïsme et à quelques scènes peu crédibles à mon goût.

En résumé, allez voir ce film. Il vous touchera forcément, que ce soit à travers les sujets qu’il aborde où à travers ses personnages. A noter que le scénariste n’est autre que Paul Laverty, le scénariste attitré de Ken Loach (article en cours) et que Iciar est proche du réalisateur ! On ne s’étonnera donc pas de l’aspect social et engagé du film.

Les émotifs anonymes de Jean-Pierre Améris

janvier 6th, 2011 § 2



Synopsis (allociné) :

Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière de talent, sont deux grands émotifs.
C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. Hélas, leur timidité maladive tend à les éloigner.
Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.


Mon avis :

Sensible, drôle, tendre, rafraîchissante et légère.

Qu’ajouter à cela ? Un bon jeu d’acteurs et une histoire savoureuse peut être ?
Voilà, je vous ai tout dit sur cette jolie comédie qui dans sa simplicité offre au spectateur toute une gamme d’émotions.

Amateurs d’action, de suspens et effets spéciaux s’abstenir ! ;)

The Visitor de Thomas McCarthy

décembre 13th, 2010 § 0



Synopsis (allociné) :

Professeur d’économie dans une université du Connecticut, Walter Vale, la soixantaine, a perdu son goût pour l’enseignement et mène désormais une vie routinière. Il tente de combler le vide de son existence en apprenant le piano, mais sans grand succès…
Lorsque l’Université l’envoie à Manhattan pour assister à une conférence, Walter constate qu’un jeune couple s’est installé dans l’appartement qu’il possède là-bas : victimes d’une escroquerie immobilière, Tarek, d’origine syrienne, et sa petite amie sénégalaise Zainab n’ont nulle part ailleurs où aller. D’abord un rien réticent, Walter accepte de laisser les deux jeunes gens habiter avec lui.
Touché par sa gentillesse, Tarek, musicien doué, insiste pour lui apprendre à jouer du djembe. Peu à peu, Walter retrouve une certaine joie de vivre et découvre le milieu des clubs de jazz et des passionnés de percussions. Tandis que les deux hommes deviennent amis, les différences d’âge, de culture et de caractère s’estompent.
Mais lorsque Tarek, immigré clandestin, est arrêté par la police dans le métro, puis menacé d’expulsion, Walter n’a d’autre choix que de tout mettre en oeuvre pour venir en aide à son ami…

Mon avis :

Humain. Sensible. Drôle. Juste.

Que dire de plus ? Moi je suis conquise. Une jolie fable toute en finesse, pudeur et justesse. Un film qui nous fait du bien et qui ne sombre pas dans le côté  dramatique des choses. Les acteurs nous offrent un jeu plus que convainquant, quasi naturel. Ce sont eux qui rendent ce film si beau et si humain.

Comme je l’ai vu écrit à plusieurs reprises, « The Visitor est un hymne à la vie ».

Amour, amitié, solidarité, solitude, douleur, partage, injustice..autant de thèmes qui font qu’on ne peut s’empêcher d’aimer ce film. Parce qu’au fond, il nous renvoie à ce que nous sommes, et à ce dont l’être humain est capable lorsqu’il s’ouvre aux autres.

Ne le dis à personne de Guillaume Canet

octobre 21st, 2010 § 0


Synopsis (allociné) :

Sa femme Margot a été sauvagement assassinée par un serial killer. Totalement détruit, Alex ressasse jour après jour le souvenir bouleversant de son amour perdu.
Huit ans ont passé. Alex reçoit un e-mail anonyme. Il clique : une image… le visage d’une femme au milieu d’une foule, filmé en temps réel. Celui de Margot…

Mon avis :

Epatant ! La première fois que je l’ai vu c’était au cinéma et j’ai été bluffée.

Ce que je ne savais pas à l’époque, c’est que ce film était tiré du livre Tell no one, que l’on doit au maître du suspense, Mr Harlan Coben. Pas étonnant donc que le scénario soit impeccable. Une histoire captivante qui se dévoile minute après minute, amenant le spectateur toujours plus près de la vérité. Une vérité qui ne saute pas aux yeux et qui surprend, jusqu’au dénouement.

Le film est crescendo et on ne voit pas le temps passé. On se sent happé par les événements. La magnifique et entêtante BO, signée Matthieu Chedid, y est pour quelque chose (voir article) !
La réalisation est soignée et les acteurs convaincants. A noter que vous retrouverez souvent les mêmes têtes dans les films réalisés par Guillaume Canet..de bons acteurs sans nul doute.

Un thriller sentimental réussi pour moi.
Les Américains n’ont qu’à bien se tenir !! ;)

The social network de David Fincher

octobre 19th, 2010 § 0



Synopsis (allociné) :

Une soirée bien arrosée d’octobre 2003, Mark Zuckerberg, un étudiant qui vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l’Université de Harvard pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l’utilisateur de voter pour la plus canon. Il baptise le site Facemash. Le succès est instantané : l’information se diffuse à la vitesse de l’éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d’avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée. C’est pourtant à ce moment qu’est né ce qui deviendra Facebook. Peu après, Mark crée thefacebook.com, qui se répand comme une trainée de poudre d’un écran à l’autre d’abord à Harvard, puis s’ouvre aux principales universités des États-Unis, de l’Ivy League à Silicon Valley, avant de gagner le monde entier…
Cette invention révolutionnaire engendre des conflits passionnés. Quels ont été les faits exacts, qui peut réellement revendiquer la paternité du réseau social planétaire ? Ce qui s’est imposé comme l’une des idées phares du XXIe siècle va faire exploser l’amitié de ses pionniers et déclencher des affrontements aux enjeux colossaux…

Mon avis :

2h de film qui passent à une allure incroyable. On ne voit pas le temps passé, tout se déroule sur un rythme effréné. Et pourtant, pas de scènes d’actions en tout genre ni cascades et explosions comme savent si bien le faire nos chers Américains. Donc assez bluffant.

Je ne vous cacherai pas qu’en sortant de la salle, j’avais un regard assez critique sur le film. Mais avec du recul je m’incline tout de même.

En fait, ce qui ne m’a pas permis de sortir enchantée du cinéma c’est que je me suis sentie larguée dès les premières minutes du film. Les dialogues portent la plupart du temps sur des termes liés au domaine de l’informatique mais aussi à celui de l’économie. Ajouter à cela le fait que le film soit en VO..ça donne parfois du charabia et une difficulté à suivre correctement le film (pour ma part du moins). Ca va vite, ca parle vite et en plus ca parle de choses dont on a pas forcément l’habitude d’entendre parler.

Pour le reste, j’ai aimé la façon dont ça a été filmé, les plans, les choix de cadrages et de mise en scène.
Les acteurs sont au top. Jesse Eisenberg, notamment, est parfait dans son rôle qui frôle parfois  l’autisme.

Je pense que ce film mérite d’être vu. Il vous étonnera surement que vous l’ayez aimé ou non !

Les petits mouchoirs de Guillaume Canet

octobre 19th, 2010 § 1


Synopsis (allociné) :

A la suite d’un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les « petits mouchoirs » qu’ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.

Mon avis :

Ce film m’a laissé une drôle d’impression ! Il m’a prise au tripe et en même temps je n’ai pas été convaincue à 100%
Je n’avais pas vu la bande annonce mais m’étais renseignée sur le film, son histoire, ses acteurs, son réalisateur et j’ai tout de suite eu une appréhension. Des films sur des trentenaires il en existe déjà. Et en même temps, c’est Guillaume Canet qui est au commande alors..

..Alors ça donne une comédie dramatique où l’on passe du rire aux larmes sans difficulté. Des acteurs convaincants, qui réussissent à donner l’illusion du vrai. J’avais l’impression d’être réellement face à une bande de potes qui se connaissent depuis toujours (vous me direz, le casting regroupe la plupart des amis de Guillaume donc rien d’étonnant en soi).  Et ça c’était chouette.

Autre bon point, la bande son ! Rien à redire, tout comme dans Ne le dis à personne Guillaume sait allier mélodie et situation. The Funeral de Band of horses, Fistful of love d’Antony and the Johnsons entre autre, participent à la réussite du film.

Pour ce qui est de l’histoire malheureusement, rien de très surprenant. Pas de surprises ni de retournements de situation. Pour un peu que vous ayez vu la bande annonce avant, vous savez tout du film et je trouve ça dommage. En ce qui me concerne, je ne l’ai vu qu’après et j’ai été déconcertée qu’elle dévoile tout. S’il vous plait ne la regardez pas ou fermer yeux et écoutilles si vous êtes contraints et forcés !

Enfin, ce qui ne m’a pas trop plu, ce sont les scènes comiques. Je n’avais pas tout le temps envie de rire et les ai trouvées trop présentes dans le film. C’est étrange parce que je rigole plutôt facilement (oui bon très facilement) et là, j’entendais le public rire de bon cœur et je ne me sentais pas en symbiose. Je n’arrive pas trop à expliquer pourquoi. Peut être que certaines situations étaient trop lourdes à mon goût.

Voilà. Un bon film frais et vrai mais pas toujours à la hauteur de ce que j’espérais.
A vous de me dire..

Voici un lien pour écouter une partie de la BO du film

L’arbre, de Julie Bertucelli

août 30th, 2010 § 1


Synopsis (allociné) :

En Australie, Dawn et Peter vivent heureux avec leurs quatre enfants à l’ombre de leur gigantesque figuier. Lorsque Peter meurt brutalement, chacun, pour continuer à vivre, réagit à sa manière. Simone, la petite fille de 8 ans, croit que son père vit à présent dans l’arbre. Un jour, elle initie Dawn à son secret… Peu à peu Dawn retrouve des forces, un travail. Peut-être un nouvel amour ? La vie reprend mais l’arbre devient envahissant : ses branches, ses racines, et même son peuple de grenouilles et de chauves-souris se lancent à l’assaut de la maison et menacent ses fondations ! Dawn n’a plus le choix : elle doit le faire abattre…

Mon avis :

Une très jolie fable sur le deuil et la façon dont chacun y fait face.  Une histoire sur l’amour, la mort et une ode à la nature. Il y a de magnifiques plans sur les espaces australiens. Une grande bouffée d’oxygène et beaucoup de poésie. J’ai trouvé ce film d’une grande finesse.

Les acteurs sont surprenant de sincérité. Morgana Davis notamment, (qui joue la fille âgée de huit ans de Charlotte Gainsbourg) transcende l’écran.

C’est bon de voir des films comme celui-ci. Bon de se sentir petit et vulnérable, que ce soit face aux sentiments autant que face à la nature.

Petite pensée pour un talentueux réalisateur

août 25th, 2010 Commentaires fermés


Juste pour vous dire que Satoshi Kon est décédé. Sniff..

Si vous ne savez pas qui est ce monsieur et bien vous tapez son nom sur google , vous jetez un oeil à un de mes articles (Paprika ou Millenium actress) !!  Ou encore mieux, vous lisez ce petit article ! ;)

Bonne soirée et bonne nuit à tous..

Pixar

août 22nd, 2010 § 9


Tous les ans, il y a ceux qui attendent le nouveau Disney et  ceux qui, comme moi, attendent le nouveau Pixar.

Alors évidemment, depuis 2006, Disney a racheté Pixar qui est désormais intégré à la branche animation de Disney. Mais ce n’est pas pour autant que Pixar à vendu son âme aux studio Disney.. Et pour preuve, il est souvent aisé de différencier une création Pixar d’une création Disney.

Cars et Toy story sont les rares Pixar qui ne m’enchantent guère. Pour le reste je suis une fan inconditionnelle !! Notamment en ce qui concerne les courts métrages et les deux derniers longs métrages que sont Wall-E et Là-haut.

Pourquoi ??

Pixar me surprend continuellement. Je suis ébahi par leur créativité et leur inventivité. Ce que j’aime par dessus tout c’est la magie et la poésie qui se dégage des dessins animés. Subtilité, onirisme, originalité..des ingrédients qui font que chaque dessin animé m’émerveille et réveille l’enfant qui est en moi.  Il m’arrive d’être autant émue, et parfois plus, que devant un film.

Comme je vous le disais plus haut, deux dessins animés m’ont conquise en particulier:

Wall-E


Synopsis (allociné) :

Faites la connaissance de WALL-E (prononcez « Walli ») : WALL-E est le dernier être sur Terre et s’avère être un… petit robot ! 700 ans plus tôt, l’humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul…
Cependant, sa vie s’apprête à être bouleversée avec l’arrivée d’une petite « robote », bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d’elle, WALL-E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu’EVE est rappelée dans l’espace pour y terminer sa mission, WALL-E n’hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite… Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie… Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l’univers et vivre la plus fantastique des aventures !

Là-haut

Synopsis (allociné) :

Des studios Disney-Pixar arrive la comédie d’aventure «Up», qui suit un vendeur de ballons de 78 ans, Carl Fredricksen, au moment où il réalise enfin le rêve de sa vie. Son désir de vivre une grande aventure le pousse à attacher des milliers de ballons à sa maison pour s’envoler vers les régions sauvages de l’Amérique du Sud. Mais il s’aperçoit trop tard de la présence d’un colis ayant la forme de son pire cauchemar : Russell, un jeune explorateur de 8 ans un peu trop optimiste, l’accompagnera dans son voyage.


Mon avis :

Je crois que je pourrais vous parler de ces deux dessins animés durant des heures. Pour moi ce sont deux petits bijoux d’animation, de vrais chefs-d’œuvre.

Wall-E m’a époustouflée. J’en suis tombée amoureuse dès les premières minutes. Je trouvais la musique, le dessin, le personnage tellement beaux que l’émotion m’a submergée dès le début. C’était magique. Voir ce petit robot évoluer, seul au milieu de cette Terre dévastée et polluée par l’homme, voir ses mimiques, découvrir sa personnalité, curieux, sensible, maladroit et  tout ça sans aucune parole..pfiou ! J’en suis restée coite.  Fallait oser. Ils l’ont fait. Et puis l’histoire est merveilleuse. L’amour entre ces deux êtres, cet exil du genre humain vers l’espace en attendant que la Terre soit redevenue  viable.  Petit brin de moral, petit regard ironique sur le genre humain et son côté destructeur.

Il y a des scènes, tellement de scènes qui sont fantastiques. Si vous ne l’avez pas vu, n’hésitez pas !!
Merci Pixar pour ces instants plein de tendresse, de poésie et d’humour.

Là-haut est différent mais fantastique aussi. Il n’y a pas la même poésie que dans Wall-E.  Mais ca a été encore plus bouleversant pour moi car très proche de la réalité. C’est le premier dessin animé ou il m’est arrivé de pleurer dès le début. Le thème de l’amour et la façon dont il est évoqué dans ce dessin animé prend au tripe. Il est pure, sans questionnement et tellement beau..que même quand la vie ne fait pas de cadeau, il survit et s’en trouve renforcé.  Carl Fredricksen, Doug, Kevin, Russel..autant de personnages attachants et qui garantissent des moments tout aussi drôles qu’émouvants. « écureuil »  !! ;)

A voir aussi absolument.

Sinon, si vous ne connaissez pas les courts métrages Pixar c’est ici que ça se passe et c’est incontournable !!! De la poésie en boîte, de l’humour et de la magie…du Pixar en somme ! Je vous en présente deux :

Partly Cloudy (désolée la qualité est bof !)

For the birds

Voici les liens pour tous les courts métrages de Pixar. Enjoy !!!

Presto

Partly cloudy

Day and Night

Dug’s special mission

Burn-E

Lifted

Your friend the rat

One man band

Mater and the ghost light

Boudin

Jack Jack attack’

For the birds

Mike’s new car

Geri’s game

Knick Knack

Tin toy

Red’s dream

Luxo jr

The adventures of Andre and Wally B

Where Am I?

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