Alice in Wonderland

mars 28th, 2010 § 2


Synopsis (allociné) :

Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu’elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s’embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge.

Mon avis :

J’espère que vous êtes confortablement installés car il va sans dire que je ne me contenterai pas de deux trois lignes pour vous parler de ce film tant attendu.

Tout d’abord, petite mise au point. Ayant vu le film en 3D, je vous conseille d’aller le voir en VO. Logique non ? Eh oui, il faut choisir car on ne peut avoir les deux réunis. La 3D c’est chouette pour les décors, les images de synthèse et tout le tralala mais enquiquinant lorsqu’il y a du mouvement et pas pertinent tout le temps selon moi. De plus, rien ne vaut un très culte et irrésistible « Off with their heads ».

Revenons en à nos moutons.  Alice in Wonderland (Underland à l’origine) et Through the looking-Glass, and What Alice Found There ne sont pas, comme vous le savez, des histoires inventées par Disney mais, de cet inventif et créatif auteur, Lewis Carrol, qui manie avec ravissement la langue, lui insufflant jeux de mots et musicalité. Le film s’inspire donc de ces deux ouvrages.

Je pense sans trop me tromper que nous avons été nombreux à nous dire : qui mieux que Tim Burton peut adapter au cinéma l’univers complètement loufoque, délirant et insensé créé par Lewis Carrol ?

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